samedi 27 octobre 2018

La myxine

La myxine


 myxines (Myxinidae) sont une famille d'animaux aquatiques anguilliformes. Les myxines n'ont pas de colonne vertébrale (mais une notochorde), ni de vraie mâchoire mais une paire de structures horizontales garnie de dents et entourée de 4 barbillonsbuccaux et de 4 barbillons autour de l'orifice « nasal ». Ces animaux nécrophages se tordent pour déchirer leurs aliments (cadavres de poissons et d'autres organismes marins). Elles produisent un mucus brutalement expansif, qui bouche les branchies de tout prédateur tentant de les manger, lesquels- en réaction - vont immédiatement les recracher. Une myxine peut se presser dans une très petite anfractuosité et on a récemment montré qu'elle peut survivre à des morsures de requins. Ces capacités intéressent beaucoup les biomécaniciens et pourraient déboucher sur des applications de robotique molle basées sur la biomimétique.

Elle s'enroule en nœud. Sa peau est dépourvue d'écailles. Elle dévore les poissons de l'intérieur, et notamment ceux pris dans les filets des pêcheurs. 
La longueur du mâle est de 25 à 30 cm, celle de la femelle de 30 à 40 cm pour un poids de 0,5 à 1 kg.
Le corps de la myxine possède 150 pores donnant accès à des glandes visqueuses. Lorsqu'elle est mordue par un prédateur, les glandes de la partie du corps exposée à la morsure expulsent environ 5 grammes de fibres sèches de mucine qui s'hydratent instantanément en un mucus et des fils fibreux riches en filament intermédiaire (IF). Ce matériau gonfle (« explose ») plus vite qu'aucune substance connue pour former jusqu'à environ 20 litres d'une substance visqueuse et très solide, qui obstrue la bouche et les ouïes de son prédateur.
Les éléments filandreux sont épais de seulement 12 nanomètres et mesurent jusqu'à 15 centimètres de long. Leur mécanisme de production fait qu'ils se déroulent en s’entremêlant. Quand les fils secs entrent en contact avec l’eau de mer, la substance qui maintenait les filaments intermédiaires qui les constituent se dissout brutalement, libérant une importante énergie élastique et permettant la formation d'une sorte de tissu gélatineux translucide. Le prédateur recrache immédiatement la myxine en cherchant à se débarrasser de la matière qui vient d'envahir sa bouche et ses branchies.
En 2011, un biologiste marin de l'Université Chapman (Californie) observe sur une vidéo une attaque de requin sur une myxine et voit celle-ci en réchapper sans la moindre blessure. Il se demande si son mucus ou sa peau dure sont en cause.
La vidéo montre que la myxine n'a pas activé son système de défense avant le début de l'attaque. Des expériences faites en laboratoire avec des aiguilles montrent que sa peau n'est pas assez dure pour résister aux dents acérées d'un requin. Une étude a ensuite montré que si le requin n'a pas pu entamer la peau de l'animal, c'est parce que cette dernière n'est que très lâchement rattachée aux muscles et aux organes internes. Cette peau recouvre une sorte de sac plein de sang et très souple (pouvant accueillir 35 % de fluide en plus avant d'être remplie). En simulant une morsure de requin avec une machine spéciale (évoquant une guillotine sur laquelle on aurait ajouté des dents de requin), les auteurs de l'étude ont constaté que la peau s'étire et entoure simplement la dent, sans être percée, tout en permettant aux organes de se déplacer hors de la zone comprimée. Par contre quand la même peau a été apposée sur les muscles d'une myxine morte, les dents de requin l'ont alors facilement percée, ce qui montre que le mécanisme de protection est au moins en partie actif et non passif.
Une autre étude récente (2016) a mis en évidence une différence importante entre une myxine atlantique et une myxine du Pacifique : la seconde a des fibres musculaires incorporées dans la peau. Ces muscles expliqueraient la capacité étonnante qu'ont ces organismes à former des nœuds avec leur corps, qui compensent le manque de mâchoires de l'animal. La myxine atlantique est longue et mince, alors que celle du Pacifique est courte et épaisse et forme des nœuds plus complexes et serrés mais ces deux espèces utilisent quatre mouvements corporels de base, qui leur permettent de former des nœuds de forme différentes.
Leur corps à la fois souple et musculeux, à la peau lâche et contenant une cavité souple remplie de fluide leur permet aussi bien de facilement et rapidement s'enfouir dans le sédiment marin que de pénétrer le cadavre d'une baleine morte pour la manger de l'intérieur. Comme les pieuvres, les myxines peuvent compresser leurs corps et se faufiler dans des orifices très petits (une fente deux fois moins large que le diamètre maximum de leur corps) en introduisant d'abord leur tête puis en remuant leurs corps jusqu'à pouvoir former une boucle avec la partie déjà introduite par l'ouverture. Elles peuvent ensuite s'appuyer sur cette boucle (effet levier) pour tirer le reste de leur corps à l'intérieur. On peut observer un gonflement spectaculaire de la partie postérieure de l'animal quand il procède ainsi, mais le fluide finit par se répartir dans la cavité interne de l'animal, qui reprend sa forme normale. On pense que d'autres animaux capables de se comprimer pour passer dans un espace de diamètre bien plus petit que le leur (poulpes ou rongeurs) utilisent des mécanismes proches et en particulier une peau lâche et élastique.





Le bathynome géant

Le bathynome géant



En décembre 1878, à l'occasion d'une expédition scientifique effectuée à bord du navire britannique HMS Challenger à proximité de l'île Dry Tortugas, dans le golfe du Mexique, un jeune Bathynomus giganteus mâle de 26 cm de long sur 9,5 de large est capturé. Ce spécimen est mis entre les mains du zoologiste français Alphonse Milne-Edwards qui l'étudie et en publie une description succincte en 1879. En 1891, les premiers spécimens de femelles sont également capturés, mais ce n'est qu'en 1902 qu'Alphonse Milne-Edwards et Louis Eugène Bouvier proposent enfin une étude anatomique complète de l'espèce.
Son aspect et sa taille inhabituelle font couler beaucoup d'encre dans les ouvrages populaires de l'époque. Cette découverte est en effet exceptionnelle, non seulement pour les scientifiques, mais également pour le grand public. La principale raison étant qu'à l'époque, elle va à l'encontre de l'idée, alors très répandue, que les profondeurs de l'océan sont azoïques, c’est-à-dire ne contenant aucune trace de vie, ce que certains scientifiques, tels que Charles Wyville Thomson, tentent alors avec peine de réfuter.
En 1991, les chercheurs mexicains Patricia Briones-Fourzán et Enrique Lozano-Álvarez publient une étude sur la biologie et l'écologie de cette espèce après avoir réalisé cinq expéditions autour de la péninsule du Yucatán.
Le bathynome géant est un cas de gigantisme abyssal. Son corps, de couleur brun à gris-violacé, est de forme oblongue. Sa cuticule, qui fait office d'exosquelette, est composée de 14 segments articulés, tête et telson compris, disposant chacun d'une paire de pattes. Le large telson est arrondi et équipé de 12 à 14 pointes terminales, tandis que les segments thoraciques sont équipés de pleures latéraux plus clairs. La tête est surmontée de deux paires d'antennes et ses machoires sont équipées de quatre paires de mandibules.
Il possède deux larges yeux composés triangulaires de 18 mm, espacés d'environ 25 mm, chacun étant composé d'environ 3 500 ommatidies dont la répartition sur la rétine n'est pas uniforme. La cornée est plate extérieurement et convexe intérieurement. Le cristallin est un cône biconvexe. La rétine est tapissée de cellules réflectives, lui permettant de voir dans l'obscurité.
Mesurant 35 centimètres en moyenne, pour une masse de 1,4 kg, il peut atteindre jusqu'à 50 cm pour 1,7 kg, ce qui en fait le plus grand des isopodes.
Le bathynome géant est commun dans tout le golfe du Mexique, des Antilles à l'embouchure de l'Amazone, et en moins grand nombre dans le golfe du Bengale, la mer Rouge et l'océan Indien. On suppose qu'il a une préférence pour les sols boueux ou argileux.
Sa répartition pélagique s'étend entre -170 m et -2140 m, c’est-à-dire de la fin de la zone épipélagique jusqu'au milieu de la zone bathypélagique, dans des eaux où la température se situe entre 4 et 9 °C. Aux Antilles, où il est très abondant entre -500 et -1000 m, il a pendant un temps été envisagé de l'exploiter à des fins commerciales.

dimanche 22 avril 2018

Le Aye-Aye


Le Aye-Aye

Le Aye-aye  Est un primate vivant à Madagascar, considéré comme vulnérable à l’extinction. Ce lémurien combine des incisives de rongeurs, des oreilles de chauve-souris, une queue d’écureuil et un troisième doigt extrêmement allongé. 
L'aye-aye a été décrit pour la première fois par Pierre Sonnerat dans son Voyage aux Indes orientales et à la Chine, publié en 1782. C’est un lémurien très particulier qui a des caractères dérivés nombreux et assez singuliers. Ses incisives rappellent celles des rongeurs, ses oreilles celles des chauves-souris et sa queue celle des écureuils. Enfin, il possède une adaptation particulière, le troisième doigt de la main est extrêmement allongé. Il a un mode de vie arboricole, ce qui le fait occuper une niche écologique voisine de celles des pics ou des écureuils sur les autres continents comme l'Europe.
Il mesure de 75 à 90 cm de long - dont 44 à 53 pour la queue - et pèse de 2 à kg. Les deux sexes sont apparemment impossibles à identifier.
Il est insectivore et frugivore. Il déloge des larves d'insectes xylophages qu'il détecte en tapotant les troncs avec son doigt spécialisé et auxquelles il accède en élargissant les orifices en déchiquetant les couches supérieures avec ses incisives et qu'il déniche finalement avec son grand doigt muni d'une griffe. À d'autres périodes de l'année, c'est pour extraire le cœur spongieux des gales sur les branches d'Eugenia que son doigt spécialisé lui est utile.
C'est le seul primate à posséder 18 dents. En effet, les espèces du sous-ordre des strepsirrhini, dont l'aye-aye fait partie, possèdent généralement 36 dents (2 incisives, 1 canine, 3 prémolaires et 3 molaires par demi-mâchoire). Le Daubentonia est une exception et on assiste à une oligodontie (réduction importante du nombre de dents). En effet, celui-ci a perdu: 4 incisives, les 4 canines, et 10 prémolaires (4 au niveau de l'arcade supérieure, et 6 au niveau de l'arcade inférieure). Le Daubentonia ne présente plus de canine, ni de prémolaire au niveau de l'arcade dentaire inférieure.
L'aye-aye est un animal en général solitaire et nocturne, discret et difficile à observer.
Un bébé aye-aye doit rester 166 jours dans le ventre de sa maman. Après sa naissance il doit rester environ 1 an avec sa mère.




Le lézard Ajolote

Le lézard Ajolote


Cet animal est une sorte de gros vers qui a la particularité d’avoir deux pattes à l’avant. Il se trouve principalement au Mexique et mesure généralement entre 15 et 23 centimètres. et se nourrit d'insectes et de vers vivant dans la terre.
C'est un reptile ovipare, les femelles pondant de un à quatre œufs en juillet, à partir de l'âge de quatre mois. Elles déposent leurs œufs sous terre, et ceux-ci éclosent environ deux mois après la ponte.
Ce sont des fouisseurs qui vivent au sol ou sous terre, et qui sortent la nuit ou après de fortes pluies.


samedi 21 avril 2018

Le cochon de mer


Le cochon de mer


Le cochon de mer (Sea Pig) est de la famille des concombre des mers, il vit dans des eaux très profondes, généralement à plus de 1000 mètres. Il se trouve dans l’océan Indien, Atlantique et Pacifique et très peu en Antarctique. Ce curieux animal s’alimente avec des particules organique qu’il trouve dans la vase et la boue au fond de l’eau.
Le genre a été décrit par le naturaliste Johan Hjalmar Théel en 1882, à l'occasion d'une expédition du célèbre HMS Challenger pieds (« podia »), leur corps gonflé, rosâtre pâle et presque translucide, et leurs quatre longues papilles dorsales.
L'espèce Scotoplanes globosa semble être la plus répandue, trouvée dans tous les principaux bassins océaniques du globe en de multiples endroits.
Ce sont toutes des espèces abyssales, vivant à des profondeurs extrêmes (« zone hadale ») : elles sont abondantes à plus de 6 000 mètres de profondeur, et ont été observées jusqu'à plus de 9 500 m. Ils vivent généralement en groupes très denses de plusieurs centaines d'individus, arpentant lentement le fond dans la même direction, en sens contraire au courant. Ce sont des dépositivores, qui se nourrissent en ingérant la couche supérieure du sédiment, préférentiellement le sédiment « frais » (tombé de la colonne d'eau il y a moins de 100 jours). Ils trient et portent ce sédiment à leur bouche au moyen de leurs tentacules peltés.
Ces espèces peuvent être parasitées par divers animaux, comme de petits mollusques gastéropodes du genre Stilapex ou des crustacés du genre Mirandotanais. Ils sont aussi souvent entourés de petits commensaux (crevettes, poissons...).


Les animaux sauvages


Les animaux sauvages

Un animal sauvage donne l'impression qu'il est dangereux comme le lion d'Afrique, mais ce n'est pas tout les animaux sauvages qui sont dangereux. En fait tous les animaux sont sauvages, les chats, chiens, chevaux étaient tous sauvages avant d'être domestiqués par l'homme. Il reste encore des chevaux sauvages et ils ne sont pas dangereux pour l'homme.

Les animaux sauvages sont tout simplement des animaux qui vivent dans la nature et qui survivent par leurs propres moyens en chassant, pêchant ou en mangeant des végétaux. Les végétariens sont des animaux sauvages qui sont en général sans dangers pour l'homme.

Les animaux carnivores selon l'espèce peuvent être des animaux sauvages dangereux. L'ours peut tuer un homme pour protéger ses petits, mais il va habituellement tout simplement se sauver. L'homme est rarement une proie convoitée et la majorité des attaques d'animaux sauvages sont pour se défendre croyant être en danger.

Certains animaux sauvages sont plus effrayants ou indésirables que dangereux, comme la moufettele raton laveur... et il suffit de ne pas leur donner de raison de vous visiter comme avoir des ordures facilement accessibles pour eux. La boule à mites est souvent un bon moyen d'éloigner les animaux car ils n'aiment pas l'odeur.

Les animaux sauvages doivent se battre pour survivre et la survie va souvent les pousser à chasser des animaux domestiques. Le renard a été énormément chassé, car il s'attaquait aux poules et autres animaux de la ferme qui sont bien plus facile à capturer, car ils sont en cage et ne pouvaient pas se sauver. Comme nous, les animaux aiment bien se faciliter la vie.

Les animaux sauvages sont curieux, et ils sont intrigués par ce qui est nouveau pour eux. Il est toujours possible que ce soit la première fois qu'un animal voit un autre animal ou un humain. Leurs réactions sont imprévisibles mais, en général, un animal sauvage va se sauver quand il voit un humain, il peut s'attarder par curiosité mais va rarement attaquer.

Le concept des animaux

Les animaux
Les animaux sont partout sur la planète, dans l'eau, sur terre et dans le ciel. Chaque espèce à des qualités qui leur ont permis de survivre à la sélection naturelle. Les animaux qui ne peuvent s'adapter aux changements de leur environnement finissent par disparaître et ceux qui s'adaptent survivent jusqu'au changement qui ne leur permettra plus de survivre.

La sélection naturelle est la façon dont la nature élimine les animaux faibles et malades et ne laisse que les animaux résistants pour la reproduction de l'espèce. L'instinct de domination des mâles d'une espèce permet aux bêtes les plus fortes et dominantes de se reproduire et procréer la race et ainsi augmenter les chances de produire des individus forts et résistants.
L'animal sauvage doit avoir de bons moyens de survivre dans son environnement. Les animaux carnivores doivent pouvoir capturer leurs proies et les proies doivent pouvoir s'échapper de leur chasseur pour survivre. Souvent un animal est prédateur mais il est aussi une proie pour d'autres animaux plus gros. Les herbivores ne sont pas des animaux prédateurs car ils ne sont pas carnivores, ils sont habituellement des proies sauf certaines espèces qui n'ont pas d'ennemis naturels.
Dans la nature, les conditions de vie sont habituellement dures et les animaux sont équipés pour y survivre. La fourrure des animaux leur permet de ne pas avoir froid, leurs griffes leur permettent d'attraper leurs proies ou de grimper à un arbre pour pouvoir se sauver d'un prédateur. Si une espèce est présente, c'est qu'elle s'est adaptée à son milieu de vie et a les moyens de défense pour survivre.
L'homme est très mal équipé pour la survie dans la nature. Il n'a pas de fourrure, pas de griffes, il court à une vitesse médiocre et n'est vraiment pas agile dans les arbres comme les primates, sans parler de nos performances aquatiques. Nous ne somme pas physiquement performant, mais notre intelligence nous a permis de nous adapter aux changements de notre environnement et de populer toute la planète.
Les animaux peuvent être utiles, nuisibles ou les deux. Ils sont considérés nuisibles quand ils dérangent, détruisent ou infestent les humains ou leurs habitations. Les animaux sont rarement juste nuisibles ou juste utiles, comme toutes choses il y a deux côtés à la médaille.
Les animaux aquatiques ont évolué et ce sont adaptés à la vie marine comme les animaux terrestres. Les poisons, les éponges et même des mammifères comme le dauphin se sont adaptés et ont évolué avec leur environnement.
Les oiseaux naturellement, sont physiquement pourvus des organes spécialisés pour le vol, leurs ailes et leur queue en sont les principaux outils, mais même leurs os sont plus légers, pour leur permettre de voler. C'est donc une combinaison de choses qui leur permet de voler et certains oiseaux ne sont pas bons pour voler à cause de leur poids comme l'autruche.
Le mode de reproduction est aussi très différent d'une espèce animale à une autre. Certains ne se reproduisent qu'à certaines périodes et d'autres peuvent se reproduire à tout moment, comme l'homme. L'age nécessaire pour un animal à se reproduire est aussi différent, les souris en quelques semaines et les éléphants doivent avoir plusieurs années.
La nourriture que mange un animal dépend du groupe dans lequel il se trouve, herbivore, carnivore ou omnivore et détermine son alimentation. L'herbivore mange des végétaux, le carnivore mange d'autres animaux et l'animal omnivore mange des deux selon sa préférence ou la disponibilité de la nourriture selon la saison.
En général, les animaux n'attaquent pas pour aucune raison et c'est souvent pour se défendre ou pour manger. Il est toujours mieux d'éloigner les animaux et insectes indésirables avec des produits répulsifs que d'utiliser des insecticides, des cages, des pièges et autres moyens pour les éliminer. L'animal ne cherche qu'un endroit pour rester et se nourrir, s'il juge l'endroit inconfortable il s'en ira tout simplement. Les animaux ne sont pas dotés de logique et il faut simplement une odeur, un son ou un objet désagréable pour les déloger.


Le lézard Ajolote

Le lézard Ajolote Cet animal est une sorte de gros vers qui a la particularité d’avoir deux pattes à l’avant. Il se trouve principal...